Pour pouvoir vendre le cuir il faut réaliser une finition sur celui-ci, une fois cela fait on parle de cuir fini, cette finition lui confère alors des propriétés protectrices et des caractéristique esthétique.
Par la suite les cuirs sont classés dans 2 catégories selon leur aspect : cuir avec un aspect de surface lisse et le cuir avec un aspect de surface velouteux.
Le finissage doit obligatoirement posséder des qualités comme adhérer à la surface du cuir, améliorer l’esthétique, apporter une protection de surface pour limiter les dégradations d’usage et bien se comporter lors de la transformation du cuir.
Ce finissage peut être déposé sur différents aspects de surface tel qu’un cuir sans défauts appliqué sur la fleur du cuir « cuir pleine fleur », sur un cuir présentant des défauts qui sont corrigés au ponçage « cuir fleur-corrigée » ou sur un finissage qui imite la fleur du cuir « croûte de cuir ».
Ce finissage est réalisé par une application de couches successives d’apprets. Dont deux principales : les couches destinées à recouvrir la surface et donnant la couleur, et la couche finale destinée à améliorer la tenue aux agressions extérieures. Celle-ci peuvent se faire selon deux techniques : le pistolage ou le rouleau.
En complément des couches de finissage il existe des opérations mécaniques qui parfont l’esthétique de cuir.
Pour finir ils existent donc des cuirs lisses, velouteux et fantaisies qui eux se déguise au besoin du motif voulu.
Les trois types de finissage:
En complément des couches de finissage il existe des opérations mécaniques qui parfont l’esthétique de cuir.
Pour finir ils existent donc des cuirs lisses, velouteux et fantaisies qui eux se déguise au besoin du motif voulu.
